Azemmour se dresse tout en haut d'une falaise, imposante, au milieu de la plaine des Doukkala. Elle fut longtemps une capitale prospère pour la région. C'est l'activité portuaire qui était la plus florissante. Un poisson nommé alose y était extrêmement abondant et reste encore aujourd'hui une des principales ressources alimentaires de la ville. Mais Azemmour c'est aussi ses remparts. Somptueux et imposants, leur couleur foncée tranche avec les maisons blanches des alentours. Ils forment une sorte de véritable kasbah dont vous pouvez faire le tour à pied. La Médina regorge de petites maisons blanches où la couleur des arbres fleuris se détache derrière les portes d'architecture portugaise. Les oliviers et autres arbres fruitiers se dressent çà et là pour donner à la ville un petit goût méditerranéen subtil. Et puis, il y a les plages de sable blanc. Loin de la foule guidecasablancaise ou d'El Jadida, vous vous retrouverez seul (ou presque) face à un océan d'un bleu azur.
Il est encore de ces endroits rares comme Azemmour où l'on est complètement dépaysé dès qu'on y pénètre. En entrant dans cette petite ville, on est étonné de se retrouver hors du temps, on repart des centaines d'années en arrière (certains foyers n'ont pas l'eau courante). L'Oued Oum er Rbia est imposant et à l'inverse de beaucoup d'Oued du Maroc, l'eau y est abondante. Azemmour se dresse tout en haut de la falaise, imposante, au milieu de la plaine des Doukkala. Elle en fut longtemps une capitale prospère pour la région. Ce sont les portugais qui l'ont envahie au XV ème siècle parce que c'était un lieu où l'on pouvait acheter à moindres frais aussi bien les tissus que les céréales Mais c'est l'activité portuaire qui était la plus florissante.
Un poisson nommé alose y était extrêmement abondant et reste encore aujourd'hui une des principales ressources alimentaires de la ville. Mais Azemmour c'est aussi ses remparts. Somptueux et imposants, leur couleur foncée tranche avec les maisons blanches des alentours.
En dessous, on peut voir l'Oued couler et les pêcheurs alignés sur la rive qui surveillent leurs lignes à longueur de journée pour vendre leurs poissons ou le rapporter à leur famille. Pour pénétrer dans la Médina, vous devez traverser ces remparts en empruntant des escaliers de pierre. Là, une longue promenade à travers les ruines vous attend.
Les canons datant du XV ème siècle sont encore là, ressemblant à des gardiens de fonte, prêts à arrêter tout ennemis potentiels. Une ancienne poudrière avec sa tour et ses petites fenêtres est un des derniers reflets de ce bastion portugais. Les remparts forment une sorte de véritable kasbah dont vous pouvez faire le tour à pied.
Hélas, les moyens manquent pour la conserver dans son meilleur état et l'on voit des parties entières s'effondrer ou devenir des mini décharges. Seul le tourisme pourrait sûrement redonner une nouvelle jeunesse à cet endroit. Et l'on peut s'attendre à ce que cette petite ville authentique finsse par séduire les étrangers comme le fit en son temps Essaouira ou maintenant Oualidia.
La Médina regorge de petites maisons blanches où la couleur des arbres fleuris se détache derrière les portes d'architecture portugaise. Les oliviers et autres arbres fruitiers se dressent çà et là pour donner à la ville un petit goût méditerranéen subtil. Et puis, il y a les plages de sable blanc. Loin de la foule guidecasablancaise ou d'el Jadida, vous vous retrouverez seul (ou presque) face à un océan d'un bleu azur. La mer y est plus chaude qu'ailleurs ce qui vous permettra de vous baigner plus facilement si vous êtes frileux (attention, pas de surveillance). Bronzer avec le seul bruit de la mer, n'est-ce pas ça aussi la véritable liberté ? Et, si par hasard, vous tombez vous aussi amoureux de cette ville, sachez que le marché immobilier est encore accessible pour une bouchée de pain.
Comment y aller : De Casablanca, prenez la route express direction el Jadida. Azemmour y sera indiqué à 80 kilomètres de Casa.
La Médina regorge de petites maisons blanches où la couleur des arbres fleuris se détache derrière les portes d'architecture portugaise. Les oliviers et autres arbres fruitiers se dressent çà et là pour donner à la ville un petit goût méditerranéen subtil. Et puis, il y a les plages de sable blanc. Loin de la foule guidecasablancaise ou d'el Jadida, vous vous retrouverez seul (ou presque) face à un océan d'un bleu azur. La mer y est plus chaude qu'ailleurs ce qui vous permettra de vous baigner plus facilement si vous êtes frileux (attention, pas de surveillance). Bronzer avec le seul bruit de la mer, n'est-ce pas ça aussi la véritable liberté ? Et, si par hasard, vous tombez vous aussi amoureux de cette ville, sachez que le marché immobilier est encore accessible pour une bouchée de pain.
